WORLD CLASS WRESTLING STAR WARS #1
22/02/1981
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En 1948, un conglomérat de promoteurs d’Amérique du Nord se fonde à St. Louis et donne naissance à la National Wrestling Alliance. Dans un souci d’encadrement des structures et de législation des droits télévisés, ces promoteurs décidèrent alors de découper la carte des États-Unis et du Canada en Territoires. Tandis que l’AWA de Verne Gagne et que la World Wrestling Federation de Vincent J. McMahon rencontraient un succès florissant au milieu des années 70, une autre promotion, localisée au Texas, sut prendre le pas des progrès technologiques de son époque pour prospérer et prendre du poids.
« The Great State of Texas » était donc découpé en quatre. Au Sud-Ouest, Joe Blanchard présidait la Southwest Championship Wrestling de San Antonio. Paul Boesch dirigeait Houston Wrestling au Sud-Est. Au Nord-Ouest, on retrouvait la Western States Sports de Dory Funk Sr. Et au Nord-Est se présentait alors la World Class Wrestling Association/Big Time Wrestling présidée par Ed McLemore. À sa mort en 1969, la promotion est rachetée par un certain Jack Adkisson, alors président de Southwest Sports Inc. Ce dernier n’est autre que Fritz Von Erich, terreur des rings au personnage de sympathisant nazi. Avant que naisse le concept de « Pay Per View » qui sera le fer de lance des promoteurs des années 80-90, certaines promotions organisaient ce qu’on appelle des « Supercards ». Entre 1981 et 1989, le territoire de Dallas tenait ce genre d’événements tout au long de l’année, lors d’occasions particulières. Ces programmes n’étaient pas encore retransmis en direct sur les antennes régionales et s’intitulaient « World Class Wrestling Star Wars ».
En date du 22 février 1981, celui-ci ne figure pas parmi la liste officielle de ces émissions mais peut tout à fait être considéré comme le tout premier et donc inaugural World Class Wrestling Star Wars de l’histoire de la promotion. On s’éloigne de la côte Est et de notre chère et tendre World Wrestling Federation pour nous pencher sur ce qui se faisait au Texas et plus particulièrement du côté de Dallas. Nous sommes donc bien dans l’enceinte de la Reunion Arena de Dallas, qui accueillait ce soir entre 13,000 et 15,000 spectateurs. Sur le ring, Bill Mercer s’occupe des introductions, lui qui sera plus tard reconnu comme la voix de la compagnie. Gene Goodson sera l’unique commentateur de cette grande soirée de catch.
MATCH 1 : MIL MÁSCARAS VS KILLER TIM BROOKS (09:55)
VAINQUEUR : MIL MÁSCARAS
PRISE DE FINITION : FLYING BODY PRESS
INDICATEUR : ** ¼
Commençant sa carrière sur les rings de Mexico en 1965, celui qui se fera connaître sous l’énigmatique pseudonyme de Mil Mascaras effectue ce soir son entrée, chaleureusement reçu par le public de Dallas. Vêtu d’une somptueuse cape et de l’un de ses légendaires masques, Mascaras est l’un des Luchadors emblématiques de l’histoire du catch, aux côtés d’El Santo et de Blue Demon parmi les personnages qui ont popularisé et démocratisé la Lucha Libre, que ce soit sur les rings de catch ou dans les salles de cinéma. Originaire de Waxahachie au Texas, son adversaire est un enfant du pays. Enfant terrible toutefois et qui possède en prime une dégaine de motard graisseux. Il s’agit de Killer Tim Brooks, qui catche sur les rings de la NWA et du Texas depuis 1969.
Mil Mascaras est en grande forme et s’affirme naturellement face à Brooks en ce début de rencontre. Au sol, Mascaras garde l’avantage face à un Tim Brooks qui reste courtois et ce, malgré une réputation de mauvais garçon. À cet égard présenté comme un roublard de première, celui-ci est étonnement fair-play et n’oublie jamais de serrer la main de son antagoniste. Le mexicain nous sort un superbe Armdrag dont lui seul a le secret et emmène ensuite Brooks au tapis avec un ciseau de tête. Ce dernier s’en sort et accepte à nouveau une poignée de main, cette fois-ci seulement pour lui décocher une sale droite en plein visage ! Sur une projection, Brooks passe par-dessus la troisième corde et plaide pour sa défense. La règle en vigueur sur ce territoire voudrait en effet que Mascaras soit disqualifié mais l’arbitre David Manning insiste pour que le combat continue. Une série de coups d’épaule de Mascaras est interrompue par un enfourchement de Brooks, dont l’homme aux mille prises se dégage. Ce dernier repart pour une série de coups de tête, l’une de ses nombreuses marques de fabrique. Profitant d’un saut chassé raté, Tim Brooks s’élance et loupe une descente de la cuisse. Sentant qu’il s’agit d’une belle occasion, Mascaras monte sur les cordes et s’élance alors en Flying Body Press. L’arbitre compte et cela suffit pour que Mil Mascaras s’arroge une petite victoire au terme d’un match plutôt agréable à suivre.
MATCH 2 : TEXAS DEATHMATCH : FRITZ VON ERICH VS THE GREAT KABUKI W/GARY HART (10:14)
VAINQUEUR : FRITZ VON ERICH
PRISE DE FINITION : BACK BODY DROP
INDICATEUR : ** ½
L’individu qui effectue ici son entrée est annoncé comme une légende vivante. Fritz Von Erich, alors âgé de 51 ans, est accueilli en héros par le public de la Reunion Arena de Dallas. Véritable légende du circuit nord-américain et patriarche de la famille Von Erich, Fritz est l’actuel propriétaire du territoire de Dallas et de la World Class Championship Wrestling. Sa réaction face à cette foule compacte est plutôt émouvante, celui-ci signant ensuite quelques autographes pour une myriade de jeunes spectateurs, massés tout autour du ring. Caché sous un drap et emmené au ring par l’infâme Gary Hart, The Great Kabuki est un catcheur japonais parmi les plus redoutés de son époque. Catchant sur les rings nippons depuis 1965, Kabuki est notamment connu pour être le premier utilisateur du Green Mist, une sorte de liquide de couleur verte qu’il crache ici en direction du public. Le visage peint, vêtu d’une tenue traditionnelle et d’un masque à l’effigie d’un dragon, Kabuki en impose de par sa terrifiante apparence.
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L’atmosphère est d’ores et déjà électrique. Fritz reste en retrait, parfaitement au fait de la dangerosité de son adversaire. En posture de combat, Kabuki est pris de court par Von Erich et son âme de bagarreur. Acculé dans l’un des coins, Fritz se retrouve coincé et subit une série de coups de pied. Mordu par Kabuki, Von Erich répond avec sa Clawhold, portée sur l’abdomen du japonais. Fritz se redonne alors du poil de la bête et essaie à nouveau de placer son Iron Claw mais Kabuki l’en empêche, retenant son bras de toutes ses forces. Toutefois, Kabuki cède et subit alors l’Iron Claw de Von Erich mais l’arbitre doit l’interrompre. Assis à l’extérieur du ring, Gary Hart se fait discret mais retient un temps l’une des jambes de Fritz, permettant à son poulain de reprendre le dessus. Affaibli, le patriarche parvient une fois de plus à placer sa Clawhold, mais cette fois-ci, Hart lui tape dans les jambes et lui fait lâcher la prise. Un fan enragé saute alors de sa chaise et agresse ce diable de Gary Hart. La police et plusieurs officiels s’interposent et menottent ce garçon, l’évacuant ensuite de l’arène. Et comme pour enfoncer le clou, l’arbitre David Manning choisit de dégager Hart à coups de pied ! Sacrée ambiance ! Face à cette situation insupportable, David Von Erich accourt et sauve son père de l’emprise du japonais. Un surpassement couche Kabuki et David implore alors son paternel de faire le tombé. Manning compte 1..2.. et 3 ! La Reunion Arena de Dallas entre en éruption ! Épuisé, Fritz Von Erich remporte donc ce Texas Deathmatch. Le clan Von Erich en ressort triomphant et célèbre ensuite la victoire de celui qui est alors considéré comme le plus grand de tous les temps, Fritz Von Erich.
MATCH 3 : NWA WORLD HEAVYWEIGHT CHAMPIONSHIP MATCH : KERRY VON ERICH VS HARLEY RACE © (16:31)
VAINQUEUR : AUCUN
PRISE DE FINITION : DOUBLE COUNT OUT
INDICATEUR : *** ½
Lors de l’ère des Territoires, le Champion de la NWA était en perpétuel déplacement et catchait le plus souvent lors de grands événements organisés par les promotions régionales. Compte-tenu du succès de la WCCW à cette période, sa présence sur le territoire de Dallas n’est pas un hasard. En 1981, le titulaire du « Ten Pounds of Gold » n’est autre qu’Harley Race, cinq fois Champion des Poids-Lourds de la National Wrestling Alliance. Originaire de St. Louis, Missouri, Race s’opposait ce soir à un challenger tout particulier. Âgé de tout seulement 21 ans, Kerry Von Erich incarne le futur de la profession et de la promotion familiale. Affichant une musculature conséquente, Kerry est un héros local est rencontre une popularité impressionnante.
Profitant de sa puissance, Kerry écrase Race au sol et ne perd pas une seconde en ce début de rencontre. Le troisième des fils Von Erich possède également l’avantage d’une première victoire face à ce même Harley Race, lors d’un match à Fort Worth où son or n’était pas en jeu. Ce soir pourrait donc être son soir et Kerry a donc tout à gagner, tandis que Race a tout à perdre. Le challenger manque encore d’assurance, ce qui permet à Harley de reprendre le dessus. Momentanément toutefois, puisque Von Erich le place dans son Sleeper Hold, l’une de ses prises fétiches. Alors que Race titube, posant un genou à terre, le public de Dallas fait du bruit et encourage son poulain. Agenouillé, le Champion s’en sort avec un coup bas, porté dans le dos de l’arbitre Bronco Lubich. Contre toute attente, Kerry parvient toutefois à réagir en plaçant sa Clawhold sur l’abdomen de Race. Ce dernier bascule alors par-dessus les cordes et retombe en contrebas. L’arbitre est encore une fois confronté à ce dilemme mais laisse se poursuivre le combat. À l’extérieur du ring, Harley essaie d’éclater le crâne de son challenger dans le poteau, mais c’est lui qui finit tête première contre cette colonne d’acier. Ouvert au front, Race est en péril, au même titre que son règne. Sur le ring, Kerry place enfin son Iron Claw et tout le public est debout. Toutefois, Harley possède l’expérience des grands et se laisse retomber entre les cordes. Une collision met alors l’arbitre sur la touche. Von Erich effectue le tombé mais se rend compte que personne n’est présent. Alors que le public comptait en chœur et que Kerry aurait du l’emporter, l’arbitre David Manning accourt et compte 1..2.. dégagement du Champion ! Kerry n’y croit pas et fulmine tandis que Race l’envoie sur la table des commentateurs. Sur le tablier du ring, Harley retombe en Falling Headbutt mais Von Erich se retire in-extremis. Comptés par l’arbitre, Kerry essaie de remonter mais Race s’agrippe à sa jambe. Le compte de vingt est décisif et Manning sonne la cloche, déclenchant des huées du public. Malgré toute la frustration du challenger, ce sera un nul et la ceinture ne change donc pas de propriétaire. Il s’agit toutefois d’un grand match de catch à l’ancienne où Kerry Von Erich fut tout particulièrement impressionnant, catchant comme un grand parmi les grands et encore plus face à un Harley Race dont on se délecte de chaque battement de cil.
MATCH 4 : WCWA WORLD TAG TEAM TITLES MATCH : DAVID VON ERICH & KEVIN VON ERICH VS ALI MUSTAFA & HERCULES AYALA © (16:39)
VAINQUEURS : DAVID VON ERICH & KEVIN VON ERICH
PRISE DE FINITION : SUNSET FLIP
INDICATEUR : ***
Assurément appréciés du public de Dallas, les garçons qui s’avancent maintenant en direction du ring sont Kevin et David Von Erich, deux des fistons de Fritz Von Erich. Ils sont accueillis en héros par la Reunion Arena, en témoigne cette immense masse de spectateurs qui trépignent d’impatience pour un autographe. Ce match sera pour le titre de Champions Tag Team de la WCWA. Il s’agit à cet égard d’un grand trophée, apporté au ring par ses possesseurs et non de ceintures. Ces derniers sont Hercules Ayala et Ali Mustafa, actuels détenteurs du NWA World Tag Team Championship, remis en activité en ce début d’année 1981 pour la première fois depuis 1969-1970.
On joue au chat et à la souris en ce début de rencontre. Chauds comme la braise, les challengers sont parfaitement enclins à l’idée de se battre tandis que les Champions préfèrent rester en retrait. Ces derniers se sortent d’une Clawhold peut-être portée trop tôt. Les heels n’en sont pas à leur coup d’essai et possèdent une solide cohésion qui leur permet de prendre le dessus sur les frangins Von Erich. Isolé de son grand frère, Kevin essuie les plâtres alors que David fulmine dans son coin. Absorbé par les tricheries d’Ayala et de Mustafa, l’arbitre ne notifie pas un tag de Kevin et s’attire les sifflets du public. Les Champions effectuent alors un remarquable effort de psychologie in-ring. Voyant que les challengers sont tout feu tout flamme et portés par une foule on-ne-peut-plus partisane, Ayala et Mustafa ralentissent systématiquement le rythme de la rencontre, frustrant la foule mais permettant aux Von Erich d’engranger un momentum qui pourra tôt au tard ressortir. Les Champions passent tout près de l’emporter lorsque Mustafa envoie David dans les bras d’Ayala pour une prise de l’ours. Le hot tag passe enfin et voit Kevin entrer pour distribuer sauts chassés et enfourchements. Les tombés s’enchaînent alors que l’arbitre essaie tant bien que mal de gérer toutes les interférences. Projetant Kevin sur la table des officiels, Ayala et Mustafa essaient alors de replacer leur prise sur un David épuisé. Mais c’était sans compter sur Kevin, qui d’un bond de guépard, se hisse sur la troisième corde. D’un magnifique saut, Kevin s’élance et enroule Mustafa en Sunset Flip. Manning compte 1..2.. et 3 ! Explosion à la Reunion Arena de Dallas alors que Kevin et David Von Erich sont sacrés Champions par équipe de la promotion familiale. La foule est debout et Kerry, Mike et Chris, suivis de Fritz les rejoignent pour célébrer cette victoire. Au terme d’un match en tag rondement mené, les Von Erich s’arrogent donc une superbe victoire et nous offrent une image unique, celle d’une famille unie, heureuse et célébrant dans le ring de leur père.
MATCH 5 : $5,000 BATTLE ROYAL : JOSÉ LOTHARIO VS JESSE BARR VS THE LAWMAN VS CHIEF WHITE CLOUD VS DON SLATTON VS BRIAN B. BLAIR VS RAUL MATA VS BRUISER BRODY VS MR. CHANG CHUNG VS ALI MUSTAFA VS HERCULES AYALA VS KILLER TIM BROOKS (05:50)
VAINQUEUR : BRUISER BRODY
PRISE DE FINITION : ÉLIMINATION DE TIM BROOKS PAR ALI MUSTAFA
INDICATEUR : * ½
Place au dernier combat de la soirée et non des moindres puisqu’il s’agit d’une Texas Battle Royal. Les règles sont simples mais diffèrent quelque peu du concept popularisé par la World Wrestling Federation. En complément du passage par-dessus les cordes, un participant peut être éliminé par tombé ou par soumission. Tous les compétiteurs sont déjà sur le ring. On retrouve Killer Tim Brooks et les anciens Champions Tag Team. D’autres noms tels que José Lothario ou Brian B. Blair sont plutôt connus. Toutefois, c’est Bruiser Brody, l’un des plus grands noms de la promotion, qui reçoit la plus grosse réaction du public de Dallas.
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La cloche sonne et c’est la bagarre ! La technique et le beau catch sont rangés au placard, tout est baston et gros gnon. Brody inaugure les éliminations en sortant Chang Chung, aussi connu en tant que Kazuo Sakurada au Japon. Pour être honnête, ce n’est pas le match de la soirée et de loin. Son placement dans la carte est d’autant plus dommage qu’on aurait aimé clôturer ce programme en célébrant avec les Von Erich. Hormis Brody, aucun participant ne se démarque et les éliminations s’enchaînent de manière plutôt aléatoire. Dans le carré final, on retrouve tout de même Brody, Killer Tim Brooks et José Lothario, trois grands noms du Texas Wrestling. Alors que Brooks et Brody se battaient à l’extérieur du ring, Lothario se fait sortir par Ali Mustafa. De retour sur le ring, Brody se retire in-extremis d’un coup de genou de Brooks qui sort malencontreusement Mustafa. Tim Brooks bascule en même temps et Brody se retrouve alors tout seul. Bruiser Brody est déclaré victorieux et empoche donc le sac d’argent pour conclure ce World Class Wrestling Star Wars de ce début d’année 1981.
On s’éloigne donc de la côte Est des États-Unis et de notre chère et tendre Pennsylvanie pour se pencher sur ce qui se faisait de ce côté du Texas. Et pour une première entrevue du territoire de Dallas, ce fut une expérience aussi agréable qu’enrichissante. Proposant une carte alléchante, ce World Class Wrestling Star Wars 1981 est à mon sens une très belle réussite. Le match d’ouverture nous fit découvrir un savant mélange de styles entre d’un côté, une icône de la Lucha Libre et de l’autre, un briscard des rings nord-américains en la personne de Killer Tim Brooks. On regrette tout juste cette courte Battle Royal sans réelle substance si ce n’est pour Bruiser Brody et son sens inné de la bagarre. Indéniablement, cette soirée était placée sous le signe de la famille Von Erich, présente sur une bonne partie de la carte. Confronté à un Harley Race magnifique, la tâche n’était pas simple pour Kerry Von Erich. Malgré un résultat frustrant, Kerry fit forte impression en poussant le Champion de la NWA dans ses retranchements. De son côté, Fritz Von Erich, patriarche et propriétaire de la promotion, combattait dans l’un de ses derniers Texas Deathmatch face au Great Kabuki. Notons l’importance du personnage de Gary Hart, jouant son rôle de manager acariâtre et diabolique à la perfection. Enfin, David et Kevin Von Erich eurent leur moment de gloire en remportant le trophée de Champions Tag Team de la WCWA. Cette image, des fils Von Erich réunis au complet, tous ensemble sur ce ring, fut une image unique en son genre, une de ces images qui nous touchent en plein cœur et qui humidifient notre regard. Ce WCCW Star Wars 1981 fut donc un excellent aperçu de ce qu’était capable de produire la World Class Championship Wrestling, qui est sans nul doute à cette époque la promotion la plus chaude des États-Unis et en soi, peut-être même du monde.
Nathan Maingneur